Palerme arabo-normande
et les cathédrales de Cefalú et Monreale
La Palerme arabo-normande (deux palais, trois églises,
une cathédrale et un pont) et les cathédrales
de Cefalú et Monreale, sur la côte nord de la Sicile,
constituent une série de neuf structures civiles et religieuses
datant de l’époque du royaume normand de Sicile
(1130-1194). Ensemble, ils illustrent un syncrétisme
socio-culturel entre les cultures occidentales, islamique et
byzantine de l’île qui fut à l’origine
de nouveaux concepts d’espace, de construction et de décoration.
Ils témoignent également de la coexistence fructueuse
de peuples d’origines et de religions diverses (musulmanes,
byzantines, latines, juives, lombardes et françaises).
PALERME
La première de
ces villes est Palerme, cité des plus remarquables par
sa grandeur et des plus illustres par son importance ; chaire
de prédication parmi les plus célèbres
et prestigieuses du monde. Elle est dotée de qualités
qui lui confèrent une gloire inégalable et réunit
beauté et noblesse. Siège du gouvernement dès
les temps primitifs et les premiers temps de l'islam, c'est
de là que partaient les flottes et les armées
lors des expéditions militaires et c'est là qu'elles
revenaient, comme elles le font encore aujourd'hui.
Cette ville est sur la côte, elle a la mer à l'est,
et est entourée de montagnes hautes et massives. Le rivage
à cet endroit est plaisant et riant, il est orienté
vers l'est. La ville est dotée de bâtiments magnifiques,
qui accompagnent les voyageurs et étalent la beauté
de leur construction, la finesse de leur réalisation
et leur merveilleuse originalité.[...]
De tous côtés, la ville est traversée par
des cours d'eau et des sources pérennes ; les fruits
y poussent en abondance ; ses édifices et ses promenades
sont tellement beaux qu'il est impossible à la plume
de les décrire et à l'intelligence de les concevoir
; le tout est une vraie séduction pour l'œil.
Le Cassaro dont il vient d'être fait mention est parmi
les villes fortifiées les mieux défendues et les
plus élevées ; il peut résister aux attaques
et est tout à fait imprenable. À son sommet est
un fort, bâti récemment pour le grand roi Roger
et constitué d'énormes blocs de pierre de taille
recouverts de mosaïques. Les murs du "Palais"
sont bien alignés et élevés, ses tours
de guet et ses postes de garde sont d'une construction fort
solide, de même que les différents palais et salles
qu'il abrite. Ces derniers sont ornés des motifs calligraphiques
les plus merveilleux et couverts de peintures remarquables.
Tous les voyageurs attestent la splendeur de Palerme et en font
une description hyperbolique. Ils affirment clairement qu'il
n'y a point hors de Palerme d'édifices plus magnifiques
que les siens, de demeures plus nobles, de palais plus imposants
et de maisons plus agréables.
Le "Faubourg" qui environne l'ancienne ville forte
dont il vient d'être fait mention est très vaste,
il contient un grand nombre de maisons, d'hôtelleries,
de bains, de boutiques et de marchés. Il est entouré
d'une enceinte, d'un fossé et d'un espace vide. À
l'intérieur, il y a beaucoup de jardins, de parcs splendides,
de canaux d'eau fraîche courante provenant des montagnes
qui entourent cette plaine. À l'extérieur, au
sud, coule la rivière de `Abbâs, qui fait tourner
des moulins en assez grand nombre pour suffire aux besoins de
la ville.
Al-Idrîsî,
Nuzhat al-mushtaq fî ikhtirâq al-âfâq,
encore appelé Livre de Roger. Sicile, 1154.
Monte
Pellegrino - port de Mondello
Piazza
Pretoria
Marchand
ambulant
Saint-Jean
des Ermites
Le
Palais des Normands
Palazzo
Reale (Parlement de Sicile)
Archimède
- Bronze de Benedetto Civiletti
La
Chapelle Palatine
La Cathédrale
Détail
de la façade
Intérieur
Le
tombeau de Roger II
L'héliomètre
La
cathédrale possède un héliomètre
(« observatoire » solaire) datant de 1690, l'un des
nombreux construits en Italie aux XVIIe siècle.
L'appareil lui-même est assez simple : un trou minuscule
dans l'un des dômes mineurs agit comme un sténopé,
projetant l'image du soleil sur le sol à midi solaire.
Une ligne de bronze (méridienne) court sur le sol du nord
au sud : les extrémités de la ligne marquent les
positions du soleil aux solstices d'été et d'hiver
; les signes du zodiaque montrent les autres
dates tout au long de l'année.
Le but de l'instrument était de normaliser la mesure
du temps et le calendrier. La convention en Sicile avait
été que la journée de 24 heures était
mesurée à partir du lever du soleil, ce qui signifiait
qu'il n'y avait pas deux endroits ayant le même temps. Il
était également important de savoir quand avait
lieu l'équinoxe vernal, afin de fournir la date exacte
de Pâques.
MONREALE
«
Dans l’intérieur de la basilique, à Monreale,
point de vitraux : des mosaïques – comme dans les
églises d’Orient. Le sanctuaire est replié
sur soi. Il est conçu comme une conque, fermé,
opaque. Un écrin. La lumière ne doit pas, du dehors,
s’y déverser. On attend que les parois la distillent.
L’or des fonds en est la source. Un scintillement comme
brumeux, impalpable. Dans la pénombre, parmi les lueurs,
le jeu des courbes abolit toute limite. Illusion de l’infini,
de l’intemporel. Cet espace n’appartient pas à
la terre. Il est céleste. La mosaïque, art de l’enchantement,
de la transfiguration – mais aussi parure très
coûteuse, à quoi la plupart des cités d’Italie
avaient dû renoncer par trop de pauvreté, et remplacer
par des fresques – la mosaïque triomphe à
Monreale, dans d’autres églises à Palerme,
à la Martorana, dans la chapelle palatine, et ceci dans
la première moitié du XIIe siècle,
c'est-à-dire au moment même où l’abbé
Suger à Saint-Denis réunissait les éléments
d’une esthétique nouvelle dont le vitrail est l’élément
clé. Comme le vitrail, la mosaïque montre au fidèle,
dès qu’il s’introduit dans le lieu sacré,
la vérité. Des mots d’abord. La plupart
sont grecs. D’autres s’y mêlent cependant,
latins, et cette juxtaposition de langage porte témoignage
d’une compénétration de cultures dont le
royaume de Sicile était alors le lieu privilégié.
Des figures illustrent ces paroles. Au centre du discours, c'est-à-dire
au plus haut de l’édifice, dans la coupole, un
vol d’archanges environne l’effigie du Christ tout-puissant.
« Pantocrator. » Il règne sur d’innombrables
silhouettes fixées sur toutes les voûtes, sur toutes
les murailles. Prodigieux trésor d’images exprimant
un christianisme beaucoup moins fruste qu’il n’était
encore dans le reste de l’Occident. Il vient en effet
de Byzance. » Georges DUBY – L’Europe au Moyen
Âge
Mosaïques
byzantines
Porte
de bronze
Le
toit
Chapiteau
du cloître
Abside
orientale
Le
cloître
Mosaïques
géométriques
Mosaïques
Christ
Pantocreator
Monreale
Tombeau
de Guillaume II
Les
motifs arabo-musulmans
Le
cloître
CEFALU
Rues
La
Rocca
La
plage
Vues
de Cefalù
Mémoire
des Normands
Le
lavoir du "Moyen-Age"
La
Cathédrale
La
construction de la cathédrale de Cefalù commence
en 1131, selon la volonté du roi normand Roger II. On
tient cette église pour le modèle à partir
duquel s'inspirèrent les bâtisseurs de la cathédrale
de Monreale. En effet, le schéma de la façade
précédée d'un portique et flanquée
de deux tours carrées massives, est analogue. Il s'agit
d'un modèle bien plus fréquent dans le nord de
l'Europe qu'en territoire italien. L'intérieur de l'édifice
suit le schéma de la basilique à trois nefs séparées
par des colonnes aux chapiteaux d'époque romaine. Un
vaste cycle de mosaïques de style byzantin, réalisé
vers 1148, décore l'abside et le choeur, selon l'iconographie
habituelle : le Christ dans la partie supérieure de l'abside
principale, puis la Vierge, des figures de saints et des épisodes
bibliques. Ce modèle de représentation du Christ
sera adopté par la suite dans l'abside de la cathédrale
de Monreale.
Détail
de la façade
Intérieur
Abside
- Gallant Knight - 1840
MESSINE
Vos
et ipsam civitatem benedicimus
La
cathédrale
TAORMINE
Duomo
Panoramas
depuis le Théâtre
Le
théâtre grec de Naxos
Images
virtuelles : "Le Livre d'Or de Taormina" - page 50 -
Casa Editrice Bonechi
ETNA
Eruptions
1669
: d'énormes quantités de lave très fluide
(100 m3/s) atteignent Catane située à
17 km de la source.
1843
: une explosion phréato-magmatique, due au passage de
la coulée sur une couche d'eau, tue 59 personnes. "L'Etna
vu de Taormine" Thomas Cole
1892
: l'activité explosive très forte construit les
Monti Silvestri et des coulées de lave s'épanchent
jusqu'aux portes de Nicolosi.
2001
: des pluies de cendres obligent de multiples fermetures de
l'aéroport de Catane.
Principaux
volcans d'Italie
Plaques
tectoniques
L'éruption
de l'Etna en 2001
Formation
de l'Etna
Formation
de l'Etna suite
Genèse
des grottes d'écoulement de lave
A.Vuillemin, d'après Sartorius de Walterhausen - "La
Terre" - Elisée Reclus
Citronniers
Le
Mont Etna
Photo: Salvatore Allegra
Etna
-Fleurs de lave
(routard.com)
L'Etna
vu de Taormine
Carte
de l'Etna - 1827
(oldmapsonline.org)
La
Montagnola et les lueurs des coulées dans la Valle del Bove
(Thomas Reichart)
Etna
- 13/01/2011
Auteur Cirimbillo
Catane
- Gerard van Kreusten
début XVIIIe - (oldmapsonline.org)
Vue
prise sur l'Etna, en sortant de la région des bois, et
avant d'entrer dans la partie de la montagne appelée
Regione scoperta.
Etna
et art
Divers
Fresque
: "Bollettino dell'eruzione ! il fuoco a nicolosi"
Dans
la mythologie grecque, Alphée est un dieu fleuve. Il
poursuit la nymphe Aréthuse (qui s'était baignée
dans ses eaux) sous l'apparence d'un chasseur. Epuisée,
Aréthuse implore la déesse Artémis qui
la dissimule derrière un épais nuage. Mais Alphée
continue à la chercher. Alors la déesse la change
en fontaine. Mais cela n'arrêta pas le passionné
Alphée qui veut mêler ses eaux à celle d'Aréthuse.
Déterminé, il émerge à Ortygie afin
de fusionner avec Aréthuse.
Rouen
a aussi sa fontaine d'Aréthuse. Elle jouxte le Gros Horloge
(Tableau de William Parrott, ci-contre). On la doit au sculpteur
Jean-Pierre Defrance. Elle lui fut commandée en 1731.
"Les
masochistes de l'amour sont les naufragés du Radeau
de l'Aréthuse"
Pierre Dac
La
fontaine d'Aréthuse
La
Fontaine d'Aréthuse - Karol Szymanowski
Film
de Ingmar Bergman - 1949
La
Vénus Anadyomène
Musée
Archéologique Régional
"Paolo Orsi"
Vénus
anadyomène
Extrait
des chroniques écrites par Guy de Maupassant
lors de son séjour en Sicile.
En
pénétrant dans le musée, je l’aperçus
au fond d’une salle, et belle comme je l’avais
devinée.
Elle n’a point de tête, un bras lui manque, mais
jamais la forme humaine ne m’est apparue plus admirable
et plus troublante.
Ce n’est point la femme poétisée, la femme
idéalisée, la femme divine ou majestueuse comme
la Vénus de Milo, c’est la femme telle qu’elle
est, telle qu’on l’aime, telle qu’on la
désire, telle qu’on la veut étreindre.
Elle est grasse, avec la poitrine forte, la hanche puissante
et la jambe un peu lourde, c’est une Vénus charnelle,
qu’on rêve couchée en la voyant debout.
Son bras tombé cachait ses seins, de la main qui lui
reste elle soulève une draperie dont elle couvre, avec
un geste adorable ses gestes les plus mystérieux. Tout
le corps est fait, conçu, penché pour le mouvement,
toutes les lignes s’y concentrent, toute la pensée
y va. Ce geste simple de naturel, plein de pudeur et d’impudicité,
qui cache et montre, voile et révèle, attire
et dérobe, semble définir toute l’attitude
de la femme sur terre.
Et le marbre est vivant. On voudrait le palper, avec la certitude
qu’il cédera sous la main, comme la chair.
Les reins, surtout, sont inexprimablement animés et
beaux. Elle se déroule avec tout son charme, cette
ligne onduleuse et grasse des dos féminins qui va de
la nuque aux talons, et qui montre, dans le contour des épaules,
dans la rondeur décroissante des cuisses et dans la
légère courbe du mollet aminci jusqu’aux
chevilles, toutes les modulations de la grâce humaine.
Une œuvre d’art n’est supérieure que
si elle est, en même temps, un symbole et l’expression
exacte d’une réalité.
La Vénus de Syracuse est une femme, et c’est
aussi le symbole de la chair.
La Vénus de Syracuse est la parfaite expression de
cette beauté saine et simple. Ce torse admirable, en
marbre de Paros, est, dit-on, la Vénus Callipyge décrite
par Athénée et Lampride, et qui fut donnée
par Héliogabale aux Syracusains.
Elle n’a pas de tête ! Qu’importe, le symbole
en est devenu plus complet. C’est un corps de femme
qui exprime toute la poésie réelle de la caresse.
Schopenhauer a dit que la nature, voulant perpétuer
l’espèce, a fait de la reproduction un piège.
Cette femme de marbre vue à Syracuse c’est bien
le piège humain deviné par l’artiste antique,
la femme qui cache et montre l’affolant mystère
de la vie.
Est-ce un piège ? Tant pis ! elle appelle la bouche,
elle attire la main, elle offre aux baisers la palpable réalité
de la chair admirable, de la chair élastique et blanche,
ronde et ferme, et délicieuse sous l’étreinte.
Elle est divine non pas parce qu’elle exprime une Pensée
mais seulement parce qu’elle est belle.
Le
théâtre gréco-romain
Théâtre
grec de Syracuse
Planimétrie
du théâtre gréco-romain
L'oreille
de Denys
L'Oreille
de Denys, ainsi appelée par le Caravage, est une grotte
en forme de pavillon auriculaire.
Elle
est réputée autant par ses qualités acoustiques
que par ses dimensions (hauteur: 23 m, largeur: 11 m, profondeur:
65m).
Selon
la légende, le tyran de Syracuse y enfermait ses ennemis
dont il écoutait les conversations à l'extérieur.
NOTO
LE
VIEUX NOTO / Parco archeologico dell'Alveria
De
nombreuses inscriptions sur les murs de la prison.
Depuis
le séisme de 1693, la nature a repris tous ses droits
LE
NOTO D'AUJOURD'HUI
La
fête des fleurs
Balcon
L'Opéra
La
cathédrale
Porte
de bronze de la cathédrale - Sculpteur Giuseppe Pirrone
Palazzo Nicolaci
di Villadorata
SPQR
: Senatus PopulusQue Romanus - Le Sénat et le peuple romain
L'Eglise
de Montevergine
Cette
église porte le nom de l'ermite Guillaume de Verceil
ou Guillaume de Montevergine qui vécut sur le Mont Vergine
(Campanie) où il créa un monastère en 1119.
Le Roi Roger II de Sicile fit don de l'église Saint-Jean
des Ermites à ses disciples.
Civière
funèbre des pauvres
RAGUSE
Raguse
Ville
basse : Ragusa Ibla
Ragusa
CALTAGIRONE
Conduzione
della campana d'Altavilla a Caltagirone
Caltagirone,
ville de la céramique
PIAZZA
ARMERINA
La
cathédrale
Les
4 quartiers
Les
bannières des quatre quartiers de la ville qui s'affrontent
chaque année lors des joutes du "Palio des Normands".
VILLA
ROMANA DEL CASALE
La
villa romaine du Casale est une villa située près
de la ville de Piazza Armerina. Sa construction a débuté
à la fin du IIIe siècle. Elle compte une trentaine
de pièces décorées de 3500 m² de mosaïques.
Elle fut occupée jusqu'en 1160 lorsqu'elle fut ravagée
par un incendie et disparut sous un glissement de terrain.
Les
thermes étaient chauffés par le système
de l'hypocauste et alimentés en eau par un aqueduc. Ils
étaient constitués de deux bains chauds, un bain
à température moyenne, un grand frigidarium de
plan circulaire, un sauna, une piscine pour la natation et une
salle des Onctions.
ENNA
L'Histoire
des Normands contée aux enfants mai 2015
Mémoire
des Normands
"EUNO"
Lo schiavo ribelle araldo di liberta
AGRIGENTE
Le
Temple d'Hercule
COLONIE GRECQUE
Près des monts
lumineux aux formes souveraines
Rappelant les sommets du pays regretté,
Les marins de l'Hellade ont construit leur cité
Et leur port à l'abri des vents et des Sirènes;
Le suc gluant des pins radouba leurs carènes;
Le dauphin sur l'autel ou le bouc fut sculpté;
Et les bruns cavaliers, laissant pendre les rênes,
Se baignaient dans la mer par les matins d'été.
Des guirlandes de fleurs ornaient le seuil des filles;
L'olive au fruit ridé, la vigne aux souples vrilles
S'enrichissaient des sels de ce sol étranger.
Le marchand pris de vin ronflait au fond d'un bouge;
Et le jeune potier traçait d'un trait léger
Le profil d'un ami sur la coupe au flanc rouge.
Marguerite Yourcenar
- "Les charités d'Alcippe"
Eglise
normande
Ruelles
Sagra
del mandorlo in fiore - La fête des amandiers en fleurs
-Première décade de février
Photos
"Jacqueline"
Maison
natale de Luigi Pirandello à Caos près d'Agrigente
Un câprier
La chute d'Icare
Cimetière d'Agrigente
Télamon reconstitué
SCIACCA
Le
port
Steripinto
Le
Carnaval
La ville
Le poète Licata
Le port
La cathédrale
SELINUNTE
MAZARA
DEL VALLO
La
casbah
Eglise
San
Francesco
MARSALA
SEGESTE
TRAPANI
Les
marais salants
Le port
L'Annunziata
Le
thon rouge
ERICE
SICILE
MÉCONNUE
Sutera
Siculiana
Leonardo
Sciascia
Mariage
Grotte
Ruelle
Marchand
de fruits
Cam
pagne
Ruelle
Ruelle
Ruelle
La
Passion
Le
village
Le
château des Ventimiglia
Au 2ème étage du château : la chapelle.
Les stucs ont été rélisés par les
frères Serpotta.
Polyptique
(1520) Eglise Matrice Vecchia
Le
château
La
chapelle
Réserve
naturelle
du Zingaro
Cathédrale
de Modica - Photos Brigitte Noël
En
1895 , le mathématicien Armando Perini a dessiné
un cadran solaire, le rayon de soleil qui pénètre
par le trou dans le haut du gnomon sur la droite, à midi,
sur le cadran solaire marque le midi local. Sur le côté
gauche du cadran, un sol en pierre contient une indication des
coordonnées géographiques de l'Église,
et donc de la ville de Modica.
L'église
Troina
- ville jumelée avec Coutances
Le
château
LES
ÎLES
LES
ÎLES ÉGADES
Favignana
Pantelleria
Marettimo
Levanzo
LES
ÎLES ÉOLIENNES
Stromboli
Zep - Blog "Le Monde"
Lipari
Lipari
Vulcano
Vulcano
Salina
Panarea
Filicudi
Alicudi
LES
ÎLES PÉLAGES
Linosa
Lampedusa
Lampione
LA
MINE DE SOUFRE de Trabia Tallarita (Caltanissetta)
Extrait
de
"Le monde perdu"
de Vittorio de Seta (1955)
"La
mine de soufre" - Renato Guttuso - 1953
Musée
du soufre de Trabia Tallarita
LA
PÊCHE AU THON
Favignana
: mattanza che più non c'è
Granitola
(Trapani) - Extrait de "Le monde perdu"
de Vittorio de Seta (1955)
Favignana,
pesca del tonno - 1958
TIMBRES
"L'Italie
par ses timbres" : https://litalieparsestimbres.wordpress.com/tag/archives/
La
Sicile
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Cefalù
Les
Archives de Catane
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Charrette
sicilienne
Carte
de la Sicile
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PANNEAUX
DE BOIS PEINT
Roger
et Robert Guiscard écrasent les Sarrazins à Rometta
Roger
le Normand victorieux à Messine
L'audacieux
Roger et ses Normands débarquent à Messine
Robert
Guiscard reçoit les clés de Messine envoyées
par son frère Roger
CHARRETTES
SICILIENNES
Charrette à
Palerme
La
charrette sicilienne - Gravure de Gaston Vuiller 1893
Le
peintre Mario Zizolto -Gravure de Gaston Vuiller 1893